A
propos des : populismes, souverainismes, nationalismes…Et de l’avènement d’une
pensée scientifique pour l’humanisme en mouvement !
Ces
dernières années, se caractérisent par l’apparition et l’usage de nouveaux mots
ou formulations qui traduisent une évolution des mœurs et des pratiques, sinon,
une adaptation de mots qui expriment la désapprobation de violences qui portent
atteinte au respect de la dignité de la vie, voire à supprimer des existences.
Mais
cet emploi de nouveaux mots inconnus ou incompris par nombre de nos concitoyens
permet la domination idéologique des élites dirigeantes sur le peuple et tente
de lui obscurcir le chemin de l’avenir : Son avenir !
C’est
ainsi, qu’il est parlé de : féminicide, de théorie du genre, de transhumanisme,
d’écriture inclusive, d’islamo gauchisme, d’indigénisme, de wokisme, de LGBT (L
= lesbiennes,) G = Gays), B = bisexuels, T = transsexuels)……………Ces emploi
volontaire de nouveaux mots ou expressions crée des confusions et des
interprétations éclatées ou disparates.
Ou
bien, et de surcroit, il est l’emploi de mots inquiétants ou à visée politique
qui signifient un cadre de pensée et d’organisation de la vie en société qui
restreignent ou caractérisent une ambition sociétale en créant des normes et
des conceptions pour peser sur le vivre ensemble et en dominer l’orientation.
LE
POPULISME
: Ainsi sur France culture, on a pu entendre : Populisme, le mot incarne à lui
seul l’angoisse démocratique du moment : Trump, Le Pen, Erdogan, Orban - la
liste n’est pas exhaustive - nous sommes cernés par les populistes et la
démocratie n’a jamais semblé si attaquée.
Revendiqué
par certains comme un étendard de leur défense du véritable peuple dont la
souveraineté serait confisquée par une élite corrompue et détachée des réalités,
le terme de populisme est également un anathème visant à disqualifier les
tenants d’une rupture avec le système politique et économique actuel.
C’est
donc peu dire que le concept pose plus de questions qu’il ne fournit de
réponses. On peut même mettre en doute son efficacité à appréhender la
singularité de notre époque, alors que des personnalités de tous bords sont
placées dans le même sac
Au-delà
de sa définition, l’enjeu du populisme pose des questions démocratiques
essentielles : celle de la définition d’un peuple un alors que celui-ci est en
réalité un agrégat d’individus et de groupes aux intérêts divergents ou parfois
antagonistes.
LE
SOUVERAINISME
: Selon le dictionnaire Larousse = il s’agit de la Doctrine des défenseurs de
l'exercice de la souveraineté nationale en Europe.
Le
souverainisme français prend la forme d'une protestation contre une intégration
européenne qui mènerait à la disparition des États-nations et consacrerait
l'avènement des « États-Unis d'Europe ». Les débats provoqués par la
ratification du traité de Maastricht (1992) et le référendum sur le traité
établissant une Constitution européenne (2005) lui ont donné un regain de
faveur.
MAIS
IL EXISTE LE SOUVERAINISME DIT DE DROITE
À
droite, le souverainisme est défendu par ceux qui se veulent les héritiers d'un
gaullisme soucieux avant tout de rejeter tout ce qui peut menacer l'identité
nationale en entamant la souveraineté du peuple français sur les affaires de
l'État (c'est la doctrine qui, au début des années 1950, s'était exprimée dans
le refus de ratifier la création de la CED (communauté européenne de défense)).
LE
SOUVERAINISME DE GAUCHE
À
gauche, l'idéologie souverainiste est représentée principalement par le
Mouvement républicain et citoyen (MRC) de J.-P. Chevènement : celui-ci dénonce
le transfert de l'exercice du pouvoir vers Bruxelles, générateur d'un « déficit
démocratique », c'est-à-dire d'une trop grande distance, porteuse
d'incompréhension, entre les élites et le peuple, les gouvernants et les
gouvernés.
Tous
ont en commun de mettre en perspective l'histoire de la France et les étapes de
sa création en tant qu'État-nation pour refuser cette forme d' « unionisme »
que pratiquent les partisans de l'Europe fédérale.
Mais
alors qu’entend-on par NATIONALISME ?
Nationaliste
est le terme qui qualifie l'individu qui place la nation au-dessus de tout dans
sa manière de penser : il met en valeur le sentiment d'appartenir à une
culture, une langue, une religion commune, ou un patrimoine commun.
Sens
2
Politique
Nationaliste
est l'adjectif qui qualifie la doctrine politique d'un parti qui met en valeur
la préférence nationale, et exalte au patriotisme.
Le
nationalisme est un principe politique qui est né à la fin du XVIII e siècle,
tendant à légitimer l'existence d'un État-nation pour chaque peuple
(initialement par opposition à la royauté, régime politique qui en France sera
ensuite nommé Ancien Régime).
Quant
à l’usage du mot WOKISME : Le "wokisme" fait référence au
terme "woke", qui signifie être "éveillé", en anglais. En
clair, c'est être conscient des problèmes de justice sociale et de racisme.
L'expression "stay woke" ("restez éveillés") a commencé à
être utilisée au début du mouvement Black Lives Matter aux Etats-Unis (né après
l'acquittement d'un veilleur de nuit qui avait tué un jeune homme noir, Trayvon
Martin, en 2013).
Les
militants de ce mouvement dénoncent un racisme systémique, qui aboutit
notamment aux violences policières contre les personnes noires.
Un
concept est surtout défini par ses détracteurs !
Le
"wokisme" s'est ensuite développé en dénonçant de manière commune les
autres discriminations sociales, notamment celles visant les personnes LGBT,
les femmes, les immigrés, etc.
Face
à toutes ces conceptions, formulations qui parfois embrouillent les esprits
plus qu’elles ne les éclairent et qui souvent émanent d’un transfert ou
adaptation de conceptions ou usages dans le monde anglo-saxon = la pensée a
besoin d’une révolution de l’esprit qui s’exprime par la pensée tétranète et
ses fondements scientifiques
Il
convient de s’expliquer sur cette nouvelle pensée humaniste à vocation
universelle, soit : C’est une nouvelle interprétation scientifique
principale et la justification sociale fondamentale de la non-violence de
Gandhi. Elles sont construites à partir de la découverte d'une nouvelle réalité
sociale – les «sphérons» – des classes sociétales de la population, employées
dans quatre sphères de la production sociale (ils ont donc été appelés
«sphérons») et qui couvrent toute la population entière, de la naissance à la
mort. Cette découverte est fondée sur la découverte de Karl Marx de quatre
sphères de production sociale, la découverte de «l’autopoïèse» d’Humberto
Maturana et la découverte des «communautés sociétales» de Talcott Parsons, qui
sont intégrées et développées par la découverte des sphérons fondés sur elles.
Les
sphérons ont reçu une preuve empirique des statistiques de population de
presque tous les pays, qui est révélée en France dans le livre : » GANDHI et
DEPUIS » Editions du Cordeau - décembre 2020. Les sphérons, en tant
que catégorie cognitive clé de la socio cybernétique intégrale du troisième
ordre, constituent la «substance» de cette «nouvelle manière de penser
fondamentalement nécessaire à la survie de l’humanité», dont Albert Einstein a
souligné le besoin urgent, à cette fin, il y a 70 ans. Cette «pensée
fondamentalement nouvelle» fondée sur des sphérons est appelée «pensée
tétranète». Ses parties fondamentales : l’ontologie, l’épistémologie, la
sociologie/la socio cybernétique et les statistiques sphériques sont décrites
en détail dans le livre, sur base expérimentale de son développement pour plus
de quatre décennies, particulièrement de manière intensive au cours des 14
dernières années au sein de l’AHG. (Association internationale d’harmonie
globale.)
La
pensée tétranète nous permet de comprendre et de mettre au jour l'harmonie
structurelle profonde des sphérons, qui définissent la loi gandhienne de la
non-violence et en sert de source sociale éternelle, universelle et permanente.
Ce paradigme de pensée vous permet de réglementer et utiliser consciemment la
«plus grande force de la non-violence de l'humanité», intuitivement initiée et
utilisée par Gandhi.
EINSTEIN
/ a exprimé le besoin impérieux d’une nouvelle pensée nécessaire à la survie de
l’humanité. Nous avons tant à combattre : Le dérèglement climatique et la
pandémie de la Covid-19,le drame et les dangers de l’arme nucléaire, la
profusion des théories racistes et antisémites, le terrorisme assassin,
le libéralisme débridé qui broie les plus fragiles, la violence et le manque de
respect contre trop de femmes, ceci, alors que l’humanité à 2 composantes de
sexe féminin et masculin et que le respect de leurs droits fondamentaux est un
combat qui doit être commun.
Oui : l’humanité a bien besoin d’une pensée révolutionnaire
humaniste en mouvement !
Copyright
Guy CREQUIE
Ecrivain français
observateur social