lundi, décembre 13, 2021

#A propos des : populismes, souverainismes, nationalismes…Et de l’avènement d’une pensée scientifique pour l’humanisme en mouvement !

 

A propos des : populismes, souverainismes, nationalismes…Et de l’avènement d’une pensée scientifique pour l’humanisme en mouvement !

 

Ces dernières années, se caractérisent par l’apparition et l’usage de nouveaux mots ou formulations qui traduisent une évolution des mœurs et des pratiques, sinon, une adaptation de mots qui expriment la désapprobation de violences qui portent atteinte au respect de la dignité de la vie, voire à supprimer des existences.

Mais cet emploi de nouveaux mots inconnus ou incompris par nombre de nos concitoyens permet la domination idéologique des élites dirigeantes sur le peuple et tente de lui obscurcir le chemin de l’avenir : Son avenir !

 

C’est ainsi, qu’il est parlé de : féminicide, de théorie du genre, de transhumanisme, d’écriture inclusive, d’islamo gauchisme, d’indigénisme, de wokisme, de LGBT (L = lesbiennes,) G = Gays), B = bisexuels, T = transsexuels)……………Ces emploi volontaire de nouveaux mots ou expressions crée des confusions et des interprétations éclatées ou disparates.

 

Ou bien, et de surcroit, il est l’emploi de mots inquiétants ou à visée politique qui signifient un cadre de pensée et d’organisation de la vie en société qui restreignent ou caractérisent une ambition sociétale en créant des normes et des conceptions pour peser sur le vivre ensemble et en dominer l’orientation.

LE POPULISME    : Ainsi sur France culture, on a pu entendre : Populisme, le mot incarne à lui seul l’angoisse démocratique du moment : Trump, Le Pen, Erdogan, Orban - la liste n’est pas exhaustive - nous sommes cernés par les populistes et la démocratie n’a jamais semblé si attaquée.

 

Revendiqué par certains comme un étendard de leur défense du véritable peuple dont la souveraineté serait confisquée par une élite corrompue et détachée des réalités, le terme de populisme est également un anathème visant à disqualifier les tenants d’une rupture avec le système politique et économique actuel.

 

C’est donc peu dire que le concept pose plus de questions qu’il ne fournit de réponses. On peut même mettre en doute son efficacité à appréhender la singularité de notre époque, alors que des personnalités de tous bords sont placées dans le même sac

Au-delà de sa définition, l’enjeu du populisme pose des questions démocratiques essentielles : celle de la définition d’un peuple un alors que celui-ci est en réalité un agrégat d’individus et de groupes aux intérêts divergents ou parfois antagonistes.

LE SOUVERAINISME : Selon le dictionnaire Larousse = il s’agit de la Doctrine des défenseurs de l'exercice de la souveraineté nationale en Europe.

 

Le souverainisme français prend la forme d'une protestation contre une intégration européenne qui mènerait à la disparition des États-nations et consacrerait l'avènement des « États-Unis d'Europe ». Les débats provoqués par la ratification du traité de Maastricht (1992) et le référendum sur le traité établissant une Constitution européenne (2005) lui ont donné un regain de faveur.

 

MAIS IL EXISTE LE SOUVERAINISME DIT DE DROITE

À droite, le souverainisme est défendu par ceux qui se veulent les héritiers d'un gaullisme soucieux avant tout de rejeter tout ce qui peut menacer l'identité nationale en entamant la souveraineté du peuple français sur les affaires de l'État (c'est la doctrine qui, au début des années 1950, s'était exprimée dans le refus de ratifier la création de la CED (communauté européenne de défense)).

 

LE SOUVERAINISME DE GAUCHE

À gauche, l'idéologie souverainiste est représentée principalement par le Mouvement républicain et citoyen (MRC) de J.-P. Chevènement : celui-ci dénonce le transfert de l'exercice du pouvoir vers Bruxelles, générateur d'un « déficit démocratique », c'est-à-dire d'une trop grande distance, porteuse d'incompréhension, entre les élites et le peuple, les gouvernants et les gouvernés.

 

Tous ont en commun de mettre en perspective l'histoire de la France et les étapes de sa création en tant qu'État-nation pour refuser cette forme d' « unionisme » que pratiquent les partisans de l'Europe fédérale.

 

Mais alors qu’entend-on par NATIONALISME ?

Nationaliste est le terme qui qualifie l'individu qui place la nation au-dessus de tout dans sa manière de penser : il met en valeur le sentiment d'appartenir à une culture, une langue, une religion commune, ou un patrimoine commun.

Sens 2

Politique

Nationaliste est l'adjectif qui qualifie la doctrine politique d'un parti qui met en valeur la préférence nationale, et exalte au patriotisme.

Le nationalisme est un principe politique qui est né à la fin du XVIII e siècle, tendant à légitimer l'existence d'un État-nation pour chaque peuple (initialement par opposition à la royauté, régime politique qui en France sera ensuite nommé Ancien Régime).

 

 

 

Quant à l’usage du mot WOKISME : Le "wokisme" fait référence au terme "woke", qui signifie être "éveillé", en anglais. En clair, c'est être conscient des problèmes de justice sociale et de racisme. L'expression "stay woke" ("restez éveillés") a commencé à être utilisée au début du mouvement Black Lives Matter aux Etats-Unis (né après l'acquittement d'un veilleur de nuit qui avait tué un jeune homme noir, Trayvon Martin, en 2013).

 

Les militants de ce mouvement dénoncent un racisme systémique, qui aboutit notamment aux violences policières contre les personnes noires.

 

Un concept est surtout défini par ses détracteurs !

Le "wokisme" s'est ensuite développé en dénonçant de manière commune les autres discriminations sociales, notamment celles visant les personnes LGBT, les femmes, les immigrés, etc.

 

Face à toutes ces conceptions, formulations qui parfois embrouillent les esprits plus qu’elles ne les éclairent et qui souvent émanent d’un transfert ou adaptation de conceptions ou usages dans le monde anglo-saxon = la pensée a besoin d’une révolution de l’esprit qui s’exprime par la pensée tétranète et ses fondements scientifiques

 

Il convient de s’expliquer sur cette nouvelle pensée humaniste à vocation universelle, soit :  C’est une nouvelle interprétation scientifique principale et la justification sociale fondamentale de la non-violence de Gandhi. Elles sont construites à partir de la découverte d'une nouvelle réalité sociale – les «sphérons» – des classes sociétales de la population, employées dans quatre sphères de la production sociale (ils ont donc été appelés «sphérons») et qui couvrent toute la population entière, de la naissance à la mort. Cette découverte est fondée sur la découverte de Karl Marx de quatre sphères de production sociale, la découverte de «l’autopoïèse» d’Humberto Maturana et la découverte des «communautés sociétales» de Talcott Parsons, qui sont intégrées et développées par la découverte des sphérons fondés sur elles.

 

Les sphérons ont reçu une preuve empirique des statistiques de population de presque tous les pays, qui est révélée en France dans le livre : » GANDHI et DEPUIS » Editions du Cordeau - décembre 2020. Les sphérons, en tant que catégorie cognitive clé de la socio cybernétique intégrale du troisième ordre, constituent la «substance» de cette «nouvelle manière de penser fondamentalement nécessaire à la survie de l’humanité», dont Albert Einstein a souligné le besoin urgent, à cette fin, il y a 70 ans. Cette «pensée fondamentalement nouvelle» fondée sur des sphérons est appelée «pensée tétranète». Ses parties fondamentales : l’ontologie, l’épistémologie, la sociologie/la socio cybernétique et les statistiques sphériques sont décrites en détail dans le livre, sur base expérimentale de son développement pour plus de quatre décennies, particulièrement de manière intensive au cours des 14 dernières années au sein de l’AHG. (Association internationale d’harmonie globale.)

 

La pensée tétranète nous permet de comprendre et de mettre au jour l'harmonie structurelle profonde des sphérons, qui définissent la loi gandhienne de la non-violence et en sert de source sociale éternelle, universelle et permanente. Ce paradigme de pensée vous permet de réglementer et utiliser consciemment la «plus grande force de la non-violence de l'humanité», intuitivement initiée et utilisée par Gandhi.

EINSTEIN / a exprimé le besoin impérieux d’une nouvelle pensée nécessaire à la survie de l’humanité. Nous avons tant à combattre : Le dérèglement climatique  et la pandémie de la Covid-19,le drame et les dangers de l’arme nucléaire, la profusion des théories racistes et antisémites, le terrorisme assassin,  le libéralisme débridé qui broie les plus fragiles, la violence et le manque de respect contre trop de femmes, ceci, alors que l’humanité à 2 composantes de sexe féminin et masculin et que le respect de leurs droits fondamentaux est un combat  qui doit être commun.

 

Oui : l’humanité a bien besoin d’une pensée révolutionnaire humaniste en mouvement !

 

Copyright Guy CREQUIE

Ecrivain français observateur social