A
propos du développement durable et de la réflexion philosophique !
Je
l’ai indiqué précédemment, le philosophe est un aventurier du concept, celui-ci
varie également selon l’évolution, car la philosophie doit être en permanence
branchée sur l’évolution du réel historique. Que le philosophes (certains)
interviennent dans les amphithéâtres d’Universités, sur les plateaux de
télévision, expriment leurs pensées dans des essais magistraux = c’est possible
!
Mais
la philosophie : c’est d’abord une étude historique, critique,
synthétique des catégories et principes de
la connaissance et de la pratique comme gnoséologie. La philosophie :
n’est pas une science, mais constitue un moment nécessaire de la science
théorique et admet le caractère scientifique de la rationalité expérimentale.
Vis- à–vis de la politique, la philosophie n’est pas une pratique, mais
constitue un moment nécessaire de la pratique instruite et implique à un stade
donné une prise de parti théorique ; mais pour cela, il lui faut être branché
sur les pratiques sociales, et mettre en relation le rapport global, complexe
de la pensée aux faits et aux choses.
Ainsi
par exemple, je me retrouve dans les propos du paléontologue Yves COPPENS, lors
de son interview dans les colonnes du quotidien le Progrès de Lyon le 4 février
2018.
Au
stade de la mondialisation, de l’industrie développée, de l’agriculture
industrielle et de la démographie galopante, le développement durable est
entravé, inadapté aux nouvelles réalités d’autant plus avec les décalages
gigantesque d’accès aux nouvelles technologies selon les nations et continents.
Comme le rappelle Monsieur COPPENS « La population
mondiale atteint 1 milliard d’humains en 1815, après trois milliards d’années
d’histoire de l’humanité. Nous sommes présentement à plus de 7 milliards
aujourd’hui en deux siècles et cela s’accélère….. » Nous pourrions être
9 milliards 600 millions en 2050, selon certains prévisionnistes.
Or,
la terre a ses limites, et pire, nous l’amputons lorsque nous la déboisons,
faisons des implantations sur les littoraux, etc. Malgré le productivisme
forcené, elle a ses limites de portage et de ressources. Alors,
indépendamment de la limitation des naissances, là où il y a 5, 7,
enfants par famille avec des conditions de production agricole, animale, et de
transformation insuffisantes et d’ailleurs, la contrainte a ses limites, il
faudra inventer une alimentation de synthèse, ceci, car la nature ne peut pas
subvenir à tous nos besoins.
Moins
de dépenses militaires, de spéculation financière, de paradis fiscaux
uniquement préoccupés par le rendement de l’argent et le pouvoir de certains
sur d’autres, mais : plus de recherches sur la nécessité d’un autre type
de consommation, et son impact vérifié sur la santé publique et individuelle.
Bien
entendu = accompagner cela de protection de la nature dans la lignée de la
dernière COP 21 en région parisienne : ceci, alors que certains Chefs d’Etats
insensés : font machine arrière.
Copyright
Guy CREQUIE
Ecrivain
observateur social = ses deux derniers livres pouvant être reliés à ce sujet
publiés par l’éditeur américain Bruce COOK :
« Philosophie aujourd’hui- Philosophie demain 2015
« Quel devenir pour l’Homo sapiens à l’horizon 2120 » fin 2016,
et début 2017
In connection with sustainable development and philosophical
reflection!
I indicated it previously, the philosopher is an adventurer of
the concept, this one also varies according to the evolution, because
philosophy must be permanently connected on the evolution of the real history.
How the philosophers (some) intervene in the amphitheaters of Universities, on
the plates of television, express their opinions in masterly tests = it is
possible!
But philosophy: it is initially a historical, critical,
synthetic study of the categories and principles of knowledge and practice like
gnoseology. Philosophy: is not a science, but constitutes one moment necessary
of theoretical science and admits the scientific character of experimental
rationality. With respect to the policy, philosophy is not a practice, but
constitutes one moment necessary of the educated practice and implies at a
stage given a catch of theoretical party; but for that, it is necessary for him
to be connected on the social practices, and to connect the report, complex of
the thought to the facts and the things.
Thus for example, I find myself in the remarks of the
paleontologist Yves COPPENS, during his interview in the columns of the daily
newspaper the Progress of Lyon on February 4th, 2018.
At the stage of globalization, developed industry, industrial
agriculture and demography galopante, sustainable development is blocked,
unsuited to new realities all the more with the shifts gigantic of access to
new technologies according to the nations and continents. As recalled by Mr
COPPENS “the world population reaches 1 billion human in 1815, after
three billion years of history of humanity. We are at present with more than 7
billion today in two centuries and that accelerates .....” We could
be 9 billion 600 million in 2050, according to certain forecasters.
However, the ground has its limits, and worse, we cut down it
when we deforest it, make establishments on the littorals, etc In spite of the
exaggerated productivism, it has its limits of bearing and resources.
Then, independently of the birth-control, where there are 5.7, children by
family with conditions of agricultural production, animal, and of
transformation insufficient and besides, the constraint has its limits, it will
be necessary to invent a food of synthesis, this, because nature cannot provide
for all our needs.
Less military expenditure, of financial speculation, tax havens
only worried by the output of the money and power of some on others, but: more
research on the need of another type of consumption, and its impact checked on
the public health and individual.
Of course = to accompany that by protection of nature in the
line of last the COP 21 in Paris region: this, whereas certain Heads of foolish
States: make back machine.
Copyright Guy CREQUIE
Social observant writer = his the last two books being able to
be connected on this subject published by the American editor Bruce COOK:
“Philosophy aujourd' today Philosophy tomorrow 2015
“Which to become for the Homo sapiens at horizon 2120” at the
end of 2016, and at the beginning of 2017