dimanche, février 25, 2018

Nous vivons un contexte historique pour le syndicalisme !


Bonjour,


Nous vivons un contexte historique pour le syndicalisme ! Celui-ci : paie conjointement le désengagement militant, ceci, car il a moins de grain à moudre comme l’indiquait l’ancien dirigeant de FO : André BERGERON, et avec la mondialisation et les normes et contraintes européenne, les acquis sociaux nationaux deviennent rares, et le management patronal développe l’individualisme ! Auparavant, il y eu les tentatives collectives :cercles de qualité, ;groupes d’expression, CAB…


Le syndicalisme, est voué aux luttes défensives, et il est acculé sur ses fondamentaux : la défense des acquis sociaux !

Certes, le gouvernement aura plus de difficultés avec la fonction publique, et surtout les cheminots, comme plus tard la RATP et EDF = professions plus syndicalisées, et avec plus de traditions de luttes, et ceci, car le blocage des transports et la coupure du courant durant longtemps, étaient immédiatement perceptibles par la population.

Ensuite, le syndicalisme englué dans le court terme a pratiquement abandonné certains créneaux comme la culture, l’organisation de la jeunesse, il n’a jamais réussi dans sa tentative d’organiser les sans –emploi ….la dégradation des cadres collectifs, les menaces individuelles, dans une société avec le poids du crédit, la diminution des instances représentatives regroupées pèsent sur l’engagement.

Enfin, compte tenu du contexte, il aurait dû se convertir au syndicalisme obligatoire, comme dans d’autres pays, lequel avec les moyens modernes de communication pouvait prendre d’autres formes  indépendantes que le prélèvement par l’employeur sur la feuille de paix : ainsi, il aurait disposé de plus de moyens d’actions et financiers, et contribué à l’éducation sociale sur des millions de salariés en attendant les bouleversements à venir avec le numérique,
l’ubérisation, les biotechnologies… Qui auront leurs incidences sur la répartition du travail ,et ses formes d’organisation.

Egalement, sur une population de masse, la répartition entre centrales syndicales représentatives aurait été modifiée par le seul jeu du choix démocratique, selon les résultats obtenus, et options correspondant aux vues des salariés

Enfin, le contexte historique avec la liquidation du parti politique révolutionnaire d’avant –garde, a son incidence sur la conscience politique, et sur l’espoir en un changement de système, lequel est à réinventer, en prenant l’expérience du passé pas tout à rejeter, mais en appréhendant l’avenir et la modernité !

Vous souhaitant bonne lecture

Cordialement.

Guy CREQUIE, Ecrivain observateur social

= Objet : Résolution de l'ONU pour la Syrie ! Resolution of UNO for Syria!
Importance : Haute



Bonjour,


Je me suis impliqué personnellement relativement au dossier syrien ! Ceci, tant auprès du gouvernement de mon pays, qu’auprès des Institutions internationales.
Vous trouverez, ci-dessous, le message adressé ce jour au Président de la République de mon pays !
J’ai adressé à plusieurs reprises les informations émanant de GHA au gouvernement de mon pays notamment s’agissant de GPS  (science globale pour la paix) mais sans réaction à ce jour !

De même, depuis début décembre, il y  a en France une antenne de la télévision russe à qui j’ai adressé ces informations, à qui j’ai demandé une prise de contact, mais sans réponse à ce jour.

Je profite de ce message, pour dire que je soutiens et apprécie les initiatives de GHA, je les popularise chaque fois que possible, mais j’ai 3 limites :

1° Je vais sur mes 75 ans, je suis engagé pour la paix et les droits et devoirs humains depuis plus de 50 ans !
Je commence à fatiguer et mon rythme  d’existence doit également penser à ma famille comme retraité !

2° handicapé par des problèmes visuels d’enfance et d’adolescence :c’est de 38 à 45 ans, que je suis passé du niveau élémentaire (lire et écrire) au 3e cycle universitaire : dont sciences politiques et études philosophiques, sauf pour l’apprentissage de la langue anglaise, dont j’ai été dispensé à titre exceptionnel par le Président d’Université, ceci, tant mon effort intellectuel était grand :je travaillais jour et nuit pour compenser mon retard scolaire ! Ainsi, je ne peux pas  m’implique sérieusement sur l’étude des dossiers GHA !

3° Enfin, j’appartiens à une frange de la conception française de la fonction critique de la philosophie. de SARTRTE à SEVE,BADIOU, DERRIDA…Même si je  soutiens la démarche initiée par Léo SEMASHKO, je conserve ma liberté de pensée cet d’actions et ne m’identifie à aucun système unique de pensée . D’ailleurs cette situation n’est pas confortable, je suis souvent isolé mais c’est le prix de mon indépendance.

Bonne continuation, félicitation pour vos initiatives = ci-dessous mon message au Président de la République française.

Cordialement.

Guy CREQUIE




lundi, février 05, 2018

A propos du développement durable et de la réflexion philosophique !


A propos du développement durable et de la réflexion philosophique !


Je l’ai indiqué précédemment, le philosophe est un aventurier du concept, celui-ci varie également selon l’évolution, car la philosophie doit être en permanence branchée sur l’évolution du réel historique. Que le philosophes (certains) interviennent dans les amphithéâtres d’Universités, sur les plateaux de télévision, expriment leurs pensées dans des essais magistraux = c’est possible !


Mais la philosophie : c’est d’abord une étude historique, critique, synthétique       des catégories et principes de la connaissance et de la pratique comme gnoséologie. La philosophie : n’est pas une science, mais constitue un moment nécessaire de la science théorique et admet le caractère scientifique de la rationalité expérimentale. Vis- à–vis de la politique, la philosophie n’est pas une pratique, mais constitue un moment nécessaire de la pratique instruite et implique à un stade donné une prise de parti théorique ; mais pour cela, il lui faut être branché sur les pratiques sociales, et mettre en relation le rapport global, complexe de la pensée aux faits et aux choses.

Ainsi par exemple, je me retrouve dans les propos du paléontologue Yves COPPENS, lors de son interview dans les colonnes du quotidien le Progrès de Lyon le 4 février 2018.

Au stade de la mondialisation, de l’industrie développée, de l’agriculture industrielle et de la démographie galopante, le développement durable est entravé, inadapté aux nouvelles réalités d’autant plus avec les décalages gigantesque d’accès aux nouvelles technologies selon les nations et continents. Comme le rappelle Monsieur COPPENS « La population mondiale atteint 1 milliard d’humains en 1815, après trois milliards d’années d’histoire de l’humanité. Nous sommes présentement à plus de 7 milliards aujourd’hui en deux siècles et cela s’accélère….. » Nous pourrions être 9 milliards 600 millions en 2050, selon certains prévisionnistes.

Or, la terre a ses limites, et pire, nous l’amputons lorsque nous la déboisons, faisons des implantations sur les littoraux, etc. Malgré le productivisme forcené, elle a ses limites de portage et de ressources.  Alors,  indépendamment de la limitation des naissances, là où il  y a 5, 7, enfants par famille avec des conditions de production agricole, animale, et de transformation insuffisantes et d’ailleurs, la contrainte a ses limites, il faudra inventer une alimentation de synthèse, ceci, car la nature ne peut pas subvenir à tous nos besoins.

Moins de dépenses militaires, de spéculation financière, de paradis fiscaux uniquement préoccupés par le rendement de l’argent et le pouvoir de certains sur d’autres, mais : plus de recherches sur la nécessité d’un autre type de consommation, et son impact vérifié sur la santé publique et individuelle.
Bien entendu = accompagner cela de protection de la nature dans la lignée de la dernière COP 21 en région parisienne : ceci, alors que certains Chefs d’Etats insensés : font machine arrière.

Copyright Guy CREQUIE
Ecrivain observateur social = ses deux derniers livres pouvant être reliés à ce sujet publiés par l’éditeur américain Bruce COOK :
« Philosophie aujourd’hui- Philosophie demain 2015
« Quel devenir pour l’Homo sapiens à l’horizon 2120 » fin 2016, et début 2017





In connection with sustainable development and philosophical reflection!


I indicated it previously, the philosopher is an adventurer of the concept, this one also varies according to the evolution, because philosophy must be permanently connected on the evolution of the real history. How the philosophers (some) intervene in the amphitheaters of Universities, on the plates of television, express their opinions in masterly tests = it is possible!


But philosophy: it is initially a historical, critical, synthetic study of the categories and principles of knowledge and practice like gnoseology. Philosophy: is not a science, but constitutes one moment necessary of theoretical science and admits the scientific character of experimental rationality. With respect to the policy, philosophy is not a practice, but constitutes one moment necessary of the educated practice and implies at a stage given a catch of theoretical party; but for that, it is necessary for him to be connected on the social practices, and to connect the report, complex of the thought to the facts and the things.

Thus for example, I find myself in the remarks of the paleontologist Yves COPPENS, during his interview in the columns of the daily newspaper the Progress of Lyon on February 4th, 2018.

At the stage of globalization, developed industry, industrial agriculture and demography galopante, sustainable development is blocked, unsuited to new realities all the more with the shifts gigantic of access to new technologies according to the nations and continents. As recalled by Mr COPPENS “the world population reaches 1 billion human in 1815, after three billion years of history of humanity. We are at present with more than 7 billion today in two centuries and that accelerates .....” We could be 9 billion 600 million in 2050, according to certain forecasters.

However, the ground has its limits, and worse, we cut down it when we deforest it, make establishments on the littorals, etc In spite of the exaggerated productivism, it has its limits of bearing and resources.  Then, independently of the birth-control, where there are 5.7, children by family with conditions of agricultural production, animal, and of transformation insufficient and besides, the constraint has its limits, it will be necessary to invent a food of synthesis, this, because nature cannot provide for all our needs.

Less military expenditure, of financial speculation, tax havens only worried by the output of the money and power of some on others, but: more research on the need of another type of consumption, and its impact checked on the public health and individual.
Of course = to accompany that by protection of nature in the line of last the COP 21 in Paris region: this, whereas certain Heads of foolish States: make back machine.

Copyright Guy CREQUIE
Social observant writer = his the last two books being able to be connected on this subject published by the American editor Bruce COOK:
“Philosophy aujourd' today Philosophy tomorrow 2015
“Which to become for the Homo sapiens at horizon 2120” at the end of 2016, and at the beginning of 2017