MES
RÉFLEXIONS CITOYENNES POUR LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES NATIONS- UNIES LE 21
SEPTEMBRE !
Ce
21 septembre, une année de plus, nous sommes appelés à participer à la journée
internationale des Nations-Unies.
Le
Risque ce cette répétition annuelle comme par exemple celle du 8 mars pour les
droits fondamentaux de la femme est qu’au fil du temps, elle devienne une sorte
de rituel formel sans ancrage parmi les populations.
Ceci,
alors que cette journée se doit d’être un moment citoyen appelant à une
mobilisation générale des consciences et des pratiques. La paix ne s’attend
pas, elle nécessite l’engagement et l’action.
Présentement,
cette journée est essentiellement celle d’une mobilisation des mouvements de
paix, des ONG, de pacifistes, d’Associations diverses et de syndicats et
c’est tout à leur mérite !
Mais
dans chaque pays que font directement les gouvernements représentés à l’ONU
pour cette journée ?
Ce
sont les peuples qui sont à la fois les victimes des guerres et ceux qui sont
mobilisés par les dirigeants de leur pays agresseur ou agressé pour y
participer et nombreux d’entre eux pour y mourir !
Pour
ma part, comme simple citoyen, j’ai 55 ans d’engagement a service de la paix et
des droits humains dans 60 pays entre 1968 et 2016, parfois au risque de
ma vie et j’ai connu : expulsion, présence des chars, tirs sur ma personne.
La
Première fois : ce fut à Prague en aout 1968 avec la présence des chars russe,
la dernière : en Turquie en 2016. Je me suis engagé par l’écriture, la
participation à des manifestations, congrès, chantant dans les rues sur les
places pour les peuples.
Souvent
des médias ,dirigeants étatiques, parlent de reconnaissance du mérite pour les
citoyens méritants : mais est-ce réellement le cas ?
Il
est ce constat ,qu’à ce jour, les prix de paix attribués le sont quasi
exclusivement à des personnes représentantes d’un Etat, d’une Institution
internationale, d’une ONG, ou à des personnalités reconnues du monde artistique
ou universitaire, mais pas aux simples citoyens.
En
2025, va paraitre mon 42ème et ultime livre à 82 ans : une version actualisée
et contemporaine de mon livre « le messager de la paix »
Il
sera composé de 3 parties :
1°
mon parcours de quasi aveugle à aujourd’hui avec mes engagements et titulaire
du seul certificat d’études élémentaires encore à 40 ans et docteur honoraire à
57 ans.
2°
Mes analyses de conflits et cours et mes propositions et la situation
internationale.
3°
Une quarantaine d’illustrations des 114 reconnaissances ou distinctions
internationales reçues pour mon engagement citoyen, mais non de prix de la
paix.
Durant
une période : chaque 20 mars jour du printemps, j’ai adressé mes propositions
pour la paix, la culture, l’éducation, les droits humains à : L’ONU dont
l’UNESCO, l’UE (Union européenne), a Président de mon pays, à des mouvements
pacifistes, à la charte de la terre, à des personnalités du monde de la
culture, des arts, aux représentants des religions. Avant le développement
d’internet, dans les années 90, ceci me coutait un budget d’envoi postal
considérable.
En
2009, je crois : l’Office des Nations- Unies de Genève avait qualifié ma
démarche « d’initiative citoyenne remarquable. »
Mais
mon propos n’est pas qu’une interpellation :je propose !
En
effet, je suggère des pistes d’amélioration pour faire de cette journée =
non pas une simple commémoration mais un appel à l’action :
A
: En relation avec l’UNESCO, bien avant auprès des divers États, cette journée
devrait être commentée avec une présentation adaptée au niveau scolaire dans
les écoles lycées, académies concernant le rôle des Nations Unies.
B
: A la télévision, comme cela se fait pour le Téléthon et le SIDA ou autre,
cette journée devrait être présentée su le : depuis quand, le pourquoi, et
comment s’y inscrire en actes.
C
: Les simples citoyens pourraient y être conviés à envoyer une participation
financière au représentant de leur pays auprès de l’ONU, laquelle serait
transmise et comptabilisée au Secrétaire général de l’ONU.
-
Les drames des conflits sociaux et les solutions possibles seraient à
populariser ce jour-là par tous les moyens de la presse écrite, radiophonique,
télévisée, et sur les réseaux sociaux par le ministère des affaires étrangères
de chaque pays.
-
Enfin : depuis 1991, j’ai proposé la création d’un ministère de la paix dans
chaque pays se substituant aux appellations actuelles : des et des armées, de
la défense, de la sécurité collective, l’appellation ministère de la guerre a
même existée ! Loin d’être une utopie, cette appellation traduirait d’emblée la
volonté étatique et des peuples d’aboutir à la paix.
Bonne
lecture, copyright
-
Guy CRÉQUIE, poète, écrivain et ancien chanteur français, messager de la paix.
MY
CITIZEN REFLECTIONS FOR THE INTERNATIONAL DAY OF THE UNITED NATIONS ON 21
SEPTEMBER!
This
September 21, another year, we are called to participate in the United Nations
International Day.
The
risk with this annual rehearsal, like the one on March 8 for women’s human
rights, is that, over time, it becomes a kind of formal ritual without
grounding among the population.
This,
while this day should be a citizen moment calling for a general mobilization of
consciences and practices. Peace does not lie ahead; it requires commitment and
action.
At
present, this is essentially a day for mobilizing peace movements, NGOs,
pacifists, various associations and trade unions, and that is to their credit!
But
in each country, what are the governments represented at the UN doing directly
for the day?
It
is the peoples who are both the victims of wars and those who are mobilized by
the rulers of their aggressor or assaulted country to participate in them and many
of them to die in them!
For
my part, as a private citizen, I spent 55 years working for peace and human
rights in 60 countries between 1968 and 2016, sometimes at the risk of my life,
and I have known: eviction, tanks, shooting at me.
First
time: it was in Prague in August 1968 with the presence of Russian tanks, last:
in Turkey in 2016. I engaged through writing, participating in demonstrations,
congresses, singing in the streets on squares for people.
Often
media outlets, state leaders, talk about giving deserving citizens credit: but
is that really the case?
To
date, peace prizes have been awarded almost exclusively to persons representing
a state, an international institution, an NGO, or to well-known figures in the
artistic or academic world, but not to ordinary citizens.
In
2025, my 42nd and final book will be published at the age of 82: an updated and
contemporary version of my book “The Messenger of Peace”
It
will consist of 3 parts:
1° my almost blind career to date with my commitments and holder
of the only certificate of elementary studies still at 40 years and honorary
doctor at 57 years.
2° My analyzes of conflicts and courses and my proposals and the
international situation.
3° Some forty illustrations of the 114 international
recognitions or distinctions received for my civic engagement, but not peace
prizes.
During a period: every 20 March spring day, I sent my proposals
for peace, culture, education, human rights to: the UN including UNESCO, the EU
(European Union), the President of my country, peace movements, the Charter of
the Earth, personalities from the world of culture, the arts, representatives
of religions. Before the development of the Internet in the 1990s, this cost me
a considerable budget for postal dispatches.
In 2009, I believe, the United Nations Office at Geneva called
my effort “a remarkable citizens’ initiative.”
But
my purpose is not just an inquiry: I propose!
Indeed,
I suggest ways to improve this day = not a mere commemoration but a call to
action:
A:
In relation to UNESCO, well before the various States, this day should be
commented with a presentation adapted to the school level in high schools,
academies concerning the role of the United Nations.
B:
On television, as is done for Telethon and AIDS or something else, this day
should be presented on the: since when, why, and how to take action.
C:
Ordinary citizens could be invited to send a financial contribution to their
country’s representative to the UN, which would be forwarded and accounted for
to the UN Secretary-General.
-
The dramas of the social conflicts and possible solutions would be to
popularize that day by all means of the press, radio, television, and on social
networks by the Ministry of Foreign Affairs of each country.
-
Finally: since 1991, I have proposed the creation of a ministry of peace in
each country, replacing the current names: des et des armes, de la défense, de
la sécurité collective, the name ministry of war has even existed! Far from
being a utopia, this name would immediately reflect the will of the state and
the peoples to achieve peace.
Good
reading, copyright
-
Guy CRÉQUIE, poet, writer and former French singer, messenger of peace.